Tantas veces repetida, esta frase de tan común nos pasa inadvertida. El amor por la ciudad, la historia compartida, la soledad, la nostalgia, la tristeza de los atardeceres grises. Borges l e habló de tango, de cuchillos, de faroles. Acuñó historias de entreveros en esquinas perdidas en los suburbios. Alguna noche de mirar la luna que a través de la reja da nostalgia, a solas con ella se habrá preguntado si Buenos Aires sentirá lo mismo. Y la ciudad siempre discreta escucha y guarda en los recovecos de sus faroles, en sus viejos balcones, en sus zaguanes silenciosos los ecos de una pasión incomprendida y mutua. ixx, feb11
Marcel Duchamp’s Experimental Geometry 1983 by Princeton University Press mathematics, geometry, non-Euclidean geometry, Marcel Duchamp http://members.iif.hu/visontay/ponticulus/britannicus/unhappy.html One of Duchamp’s last specific comments on geometry was hisUnhappy Readymade of 1919. At the time of the marriage of his sister, Suzanne, to Jean Crotti, the artist sent instructions to the couple in Paris to suspend a geometry book by strings on their balcony. Duchamp later described the intended results: “The wind had to go through the book, choose its own problems, turn and tear out the pages… It amused me to bring the idea of happy and unhappy into readymades, and then the rain, the wind, the pages flying, it was an amusing idea.”* *Duchamp, as quoted in Cabanne, Dialogues, p. 61
Homme libre, toujours tu chériras la mer! La mer est ton miroir, tu contemples ton âme Dans le déroulement infini de sa lame Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer. Tu te plais a plonger au sein de ton image; Tu l'embrasses des yeux et des bras, et ton coeur Se distrait quelquefois de sa propre rumeur Au bruit de cette plainte indomptable et sauvage. Vous êtes tous les deux ténébreux et discrets; Homme, nul n'a sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, O frères implacables! L'Homme et la Mer de Baudelaire Auteur : Baudelaire Titre : L'Homme et la Mer Époque : 19 ième Oeuvre dont est tiré le titre : Les Fleurs du mal